Friday, April 10, 2009
Discussiones sur le Korea del Nord in le Nationes Unite
(Languages of this post: Interlingua, French, English)
Post le lanceamento per le Korea del Nord de un grande rocchetta que cadeva a in le Oceano Pacific, le Statos Unite, Japon, e Mexico convocava un reunion de emergentia pro complir un condemnation forte e unanime del actiones de Pyongyang.
Ma tres horas de discussion produceva nulle resolution, nulle sanctiones, e assi nulle expression commun pro un decision concrete. Le dece cinque membros del Consilio esseva de accordo solmente pro le continuation de lor discussiones al respecto in le dies veniente.
Le autoritates del Korea del Nord affirmava que le rochetta esseva lanceate pro mitter in orbita un satellite, ma Washington e su alliatos europee, appoiate per Japon, crede que illo esseva un projectil de longe distantia cuje lanceamento viola le resolutiones anterior del Consilio de Securitate.
Assi, iste paises propone que se impone un condemnation firme e clar per le Consilio. Ma China dice que illo ha un opinion contrari. Le lanceamento del rocchetta per le Korea del Nord, secundo le governamento chinese, non constitue un violation del resolutiones 1695 e 1718 adoptate in 2006 que condemna le Korea del Nord e demanda que illo se abstine de ulle tests nuclear ulterior o ulle lanceamento de projectiles ballistic.
Beijing demandava un plus grande quantitate de patientia e de prudentia per le Consilio de Securitate pro evitar problemas pro le gruppo de sex negotiatores sur le dismantellamento del capacitates nuclear del Korea del Nord, e Moscova affirmava clarmente que il es prematur arrivar a un conclusion que il ha un violation del resolutiones precedente del Consilio.
Post tres horas de consultationes que certe diplomatas describe como laboriose, Claude Heller, le ambassator de Mexico al Nationes Unite e le presidente del Consilio pro le mense de april, legeva al pressa un reporto laconic: “Le dece cinque membros es de accordo pro continuar lor discussiones pro arrivar al determination de un responsa appropriate per le Consilio in conformitate con su responsibilitates e le gravitate de iste question.”
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Après le lancement par la Corée du Nord d’une grande fusée qui est tombée dans l’océan Pacifique, les Etats-Unis, le Japon et le Mexique ont convoqué une réunion d’urgence en vue d’une condamnation ferme et unanime des actions de Pyongyang.
Mais après trois heures de discussions, pas de résolution, pas de sanctions et donc pas d’expression commune pour une décision concrète. Les quinze membres du conseil se sont seulement mis d’accord pour poursuivre les discussions sur le sujet dans les jours à venir.
Les autorités nord-coréennes ont affirmé que la fusée a été lancée pour placer en orbite un satellite, mais Washington et ses alliés européens, soutenus par le Japon, considèrent qu’il était un missile à longue portée, dont le lancement viole les résolutions antérieures du conseil de sécurité.
Ces pays proposent donc qu’une condamnation ferme et sans équivoque de la part du conseil s’impose. Mais la Chine elle se dit d’avis contraire. Le lancement de la fusée nord-coréenne, selon le gouvernement chinois, ne constitue pas une violation des résolutions 1695 et 1718 adoptées en 2006 qui condamnent la Corée du Nord et lui demande de s’abstenir de tout nouvel essai nucléaire ou tir de missile balistique.
Pékin a demandé plus de retenue et de prudence de la part du Conseil de sécurité pour éviter de compromettre les pourparlers à six sur le démantèlement des capacités nucléaires de la Corée du Nord, et Moscou a affirmé clairement qu’il est prémature de conclure qu’il y a violation des résolutions précédentes du conseil.
Après trois heures de consultations que certains diplomates décrivent de laborieuses, Claude Heller l’ambassadeur du Mexique, à l’ONU et président du conseil pour le mois d’Avril, a lu à la presse un compte-rendu laconique : “Les quinze membres se sont mis d’accord pour déterminer une réponse appropriée par le conseil, en conformité avec ses responsabilités étant donné la gravité de cette question”.
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Following the launch by North Korea of a large rocket which fell into the Pacific Ocean, the United States, Japan and Mexico convened an emergency meeting for a strong and unanimous condemnation of this action by Pyongyang.
But three hours of talks produced no resolution, no penalties, and therefore no common decision statement. The fifteen members of the Council have agreed only to continue discussions on this subject in the next few days.
North Korean authorities said that the rocket was launched to place a satellite into orbit, but Washington and its European allies, backed by Japan, believe it was a long-range missile, whose launch violates previous resolutions by the Security Council.
These countries suggest that a strong and unequivocal condemnation by the Council is required. But China says it believes otherwise. The launch of the North Korean rocket, according to the Chinese government, does not constitute a violation of resolutions 1695 and 1718, adopted in 2006, condemning North Korea and asking it to refrain from further nuclear tests or launches of ballistic missiles.
Beijing has called for restraint and caution on the part of the Security Council to avoid undermining the six-party talks on dismantling the nuclear capabilities of North Korea, and Moscow affirmed that it is clearly premature to conclude that there is a breach of previous resolutions by the Council.
After three hours of consultations that some diplomats describe as laborious, Claude Heller, the Mexican ambassador to the United Nations and Chairman of the Council for the month of April, read (to) the press a laconic account: “The fifteen members have agreed to determine an appropriate response by the Council, in accordance with its responsibilities, given the seriousness of this matter.”
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