Iran: Personas detenite torturate, secundo le opposition

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Un del candidatos del opposition al election presidential, Mehdi Karroubi, sta a accentuar le pression sur le governamento Iranian con accusationes de mal tractamentos in le prisiones.

Karroubi habeva previmente affirmate que un certe numero de personas, arrestate post le election in junio, habeva ete violate in prision.

Iste accusation esseva appoiate per organisationes de defensa del derectos human, ma illo esseva rapidemente negate per le presidente del parlamento Iranian, Al Larijani.

Mehdi Karroubi nunc sta a denunciar casos de tortura, le quales, on dice, ha causate le morte de certe personas detenite.

Le autoritates Iranian ha recognoscite que certe casos de abuso ha occurrite, e un centro de detention habeva mesmo essite claudite a causa del requesta del duce supreme Iranian, le Ayatollah Khamenei.

Le opposition sta a profitar de iste situation pro criticar le governamento, sin tamen defiar directemente le victoria de Mahmoud Ahmadinejad al presidentia.

Ma le opposition iranian non es le sol agentia a denunciar le situation de derectos human in Iran.

Expertos sur iste thema del Nationes Unite esseva profundemente preoccupate a causa de informationes secundo le quales alicun personas detenite esseva submittite al tortura e interrogationes sever pro obtener confessiones.

Un de iste expertos, El hadji Malick So, vice-presidente del gruppo de travalio sur detentiones arbitrari, declarava que tal confessiones non pote, sub ulle pretexto, esser considerate como probas par le tribunal revolutionari.

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Iran : des détenus torturés, selon l'opposition

L'un des candidats de l'opposition à l’élection présidentielle, Mehdi Karroubi, accentue la pression sur le gouvernement iranien avec ces accusations de mauvais traitements dans les prisons.

Karroubi avait d'abord affirmé qu'un certain nombre de personnes, arrêtées après l'élection en juin, avaient été violées en prison.

Cette accusation a été soutenue par des organisations de défense des droits de l'homme, mais elle a été rapidement démentie par le président du parlement iranien, Ali Larijani.

Mehdi Karroubi dénonce à présent des cas de torture qui auraient entrainé la mort de certains détenus.

Les autorités iraniennes ont déjà reconnu que des cas d'abus avaient eu lieu, et un centre de détention avait même été fermé à la demande du guide suprême iranien, l'Ayatollah Khamenei.

L'opposition profite de cette situation pour critiquer le gouvernement, sans pour autant remettre directement en cause la victoire de Mahmoud Ahmadinejad à la présidentielle.

Mais l'opposition iranienne n'est pas seule à dénoncer la situation des droits de l'homme en Iran.

Des experts de l'ONU en la matière se sont dits vivement inquiets des informations selon lesquelles des détenus seraient soumis à la torture ainsi qu'à de durs interrogatoires pour obtenir des confessions.

L'un de ces experts, El hadji Malick Sow, vice-président du groupe de travail sur les détentions arbitraires, a déclaré que de telles confessions ne peuvent, sous aucun prétexte, être considérées comme des preuves par le tribunal révolutionnaire.

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Iran: detainees tortured, according to the opposition

One of the opposition candidates in the presidential elections, Mehdi Karroubi, is increasing pressure on the Iranian government with accusations of abuse in prisons.

Karroubi had previously claimed that a number of people arrested after the election in June, had been raped in prison.

This charge that was supported by human-rights organizations, but it was quickly denied by the President of the Iranian parliament, Ali Larijani.

Mehdi Karroubi is now denouncing cases of torture that allegedly caused the death of some detainees.

The Iranian authorities have acknowledged that abuses had taken place, and a detention center had been closed at the request of the Iranian Supreme Leader, Ayatollah Khamenei.

The opposition is taking advantage of this situation to criticize the government, while not directly challenging the victory of Mahmoud Ahmadinejad in the presidential election.

But the Iranian opposition is not alone in denouncing the situation of human rights in Iran.

UN experts on the subject were deeply concerned by reports that detainees were subjected to torture and harsh interrogations to obtain confessions.

One of these experts, El Hadji Malick Sow, Vice-Chair of the Working Group on Arbitrary Detention has stated that such confessions may not, under any circumstances, be considered as evidence by the Revolutionary Court.