Sunday, November 22, 2009

Le salarios de certe dirigentes de corporationes statounitese ha essite reducite per le governamento federal american.


(Languages of this post: Interlingua, French, English)


Le salarios, premios, e avantages accessori de vinti e cinque dirigentes de corporationes adjuvate financialmente per le governamento federal del Statos Unite essera reducite per 90%. Le governamento federal del Statos Unite ha dispendite $700 billiones de dollars pro salvar le sector bancari e centenas de milliones de dollars pro salvar le altere sectores del economia American, e Obama non crede que lor dirigentes debe esser recompensate pro lor incompetentia.

Quatro bancas e institutiones financiari es afficite per le mensuras de austeritate imponite per le executivo american, includente le gigantes del industria bancari american, Bank of America e Citigroup, un compania de assecurantia, le previemente celebrate e nunc notorie AIG, e duo constructores de automobiles, General Motors e Chrysler.

“Nos non es contra le richessa o illes qui succede financialmente, ma nos non tolerara chefs de interprisas qui recipe enorme primes quando lor interprisas ha essite salvate per interventiones extraordinari que veni del impostos american”, declarava Barack Obama.

Intertanto, le Reserva Federal ha proponite nove regulas de conducta financiari pro omne interprisas american. Iste regulas autorisa le banca central del Statos Unite a opponer su veto al remuneration de ulle empleato cuje comportamento expone le interprisa a riscos excessive.

Omne iste mensuras es exceptional per le parte del governamento statounitese, que ha resistite pro multe tempore omne interventiones in le mundo del affaires.

Ma le remuneration maxime annunciate per le Administration Obama pro le septe interprisas que ha profitate le plus per le adjuta public se applicara solmente durante le mense de novembre e decembre.

Durante un reunion in Pittsburgh le mense passate, Barack Obama e altere dirigentes del 20 paises le plus disveloppate ha proponite limitar le remuneration del dirigentes de bancas, ma contrariemente al deseos del paises europee, le G-20 non ha imponite ulle limite sur le remuneration.

---

Les salaires, les primes et les avantages accessoires de vingt-cinq dirigeants de sociétés aidées financièrement par le gouvernement fédéral des États-Unis seront réduites de 90%. Le gouvernement fédéral des États-Unis ont dépensé 700 milliards de dollars pour sauver le secteur bancaire et des centaines de millions de dollars pour sauver les autres secteurs de l’économie américaine, et Obama ne croit pas que leurs dirigeants doivent être récompensés pour leur incompétence.

Quatre banques et institutions financières sont affectées par les mesures d’austérité imposées par l’exécutif américain, y compris les géants de l’industrie bancaire américaine, Bank of America et Citigroup; une compagnie d’assurance, la désormais célèbre AIG, et deux constructeurs d’automobiles, General Motors et Chrysler.

“Nous ne sommes pas contre la richesse ou de ceux qui réussissent financièrement, mais nous ne tolérerons pas des chefs d’entreprises qui reçoivent d’énormes primes lorsque leurs entreprises ont été sauvées par des interventions extraordinaires provenant des impôts américains”, a déclaré Barack Obama.

Parallèlement, la réserve fédérale a proposé de nouvelles règles de conduite financière pour l’ensemble des entreprises américaines. Ces règles autorisent la banque centrale des Etats-Unis à opposer son veto à la rémunération de tout employé dont le comportement exposent l’entreprise à des risques excessifs.

Toutes ces mesures sont exceptionnelles de la part du gouvernement américain qui a longtemps rechigné à tout interventionnisme dans le monde des affaires.

Cependant, les plafonnements des rémunérations annoncées par l’Administration Obama pour les sept entreprises qui ont profité le plus de l’aide publique ne vaudront que pour les mois de novembre et décembre.

Lors d’une réunion à Pittsburgh le mois dernier, Barack Obama et d’autres dirigeants des 20 pays les plus développés ont proposé de limiter la rémunération des dirigeants de banques, mais contrairement aux vœux des pays européens, le G-20 a imposé aucune limite sur la remuneration.

---

The salaries, bonuses, and perquisites of twenty-five leaders of companies aided financially by the federal government of the United States will be reduced by 90%. The federal government of the United States has spent $700 billion to rescue the banking sector and hundreds of millions of dollars to rescue other sectors of the American economy, and Obama does not feel that their executives should be rewarded for their incompetence.

Four banks and financial institutions are affected by austerity measures imposed by the U.S. executive, including giants of the American banking insustry, Bank of America and Citigroup; an insurance company, the now notorious AIG, and two automakers, General Motors and Chrysler.

“We are not against wealth or those who succeed financially, but we will not tolerate business leaders who get huge bonuses when their companies have been rescued by extraordinary assistance from American tax funds,” said Barack Obama.

Meanwhile, the Federal Reserve has proposed new rules of financial conduct for all U.S. businesses. These rules allow the central bank of the United States to veto the pay of any employee whose conduct exposes their companies to undue risks.

All these measures are exceptional from the point of view of the U.S. government, which balked for a long time at any intervention in the business world.

They reflect the anger expressed by American taxpayers about the ongoing abuses in private companies they have helped to rescue from bankruptcy.

However, the pay caps announced by the Obama Administration for the seven companies that have benefited most from public support will only apply in the months of November and December.

Meeting in Pittsburgh last month, Barack Obama and other leaders of the 20 most developed countries had proposed to limit the pay of bank executives, but contrary to the wishes of European countries, the G-20 has imposed no limit on remuneration.

No comments: